I- Première station : Jésus est condamné à mort
II- Deuxième station : Jésus est chargé de sa croix
III- Troisième station : Jésus tombe pour la première
fois
IV- Quatrième station : Jésus rencontre sa sainte
Mère
V- Cinquième station : Simon de Cyrène aide Jésus
à porter sa croix
VI- Sixième station : Véronique essuie la face de
Jésus
VII- Septième station : Jésus tombe pour la
deuxième fois
VIII- Huitième station : Jésus console les filles
de Jérusalem
IX- Neuvième station : Jésus tombe pour la
troisième fois
X- Dixième station : Jésus est dépouillé de ses
vêtements
XI- Onzième station : Jésus est cloué à la croix
XII- Douzième station : Jésus meurt sur la croix
XIII- Treizième station : l’ensevelissement
XIV- Quatorzième station : le sépulcre
XV- la
Résurrection du Christ
XVI- Suggestion de chants
V- Cinquième station : Simon de Cyrène aide Jésus
à porter sa croix.
Que ceux qui le peuvent se
mettent à genoux quelques instants (puis on dit) : Nous vous adorons et nous
vous bénissons ô Christ ; Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte
Croix.
De l’Evangile de Saint Matthieu
(27, 32) : « En sortant, ils trouvèrent un homme de Cyrène, nommé Simon,
et le requirent pour porter sa croix ».
De l’Evangile de Saint Matthieu
(25, 40) : « Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens, c’est
à moi que vous l’avez fait ».
Ce n’est pas Simon de Cyrène qui aide Jésus a porter sa croix. Jésus a
besoin de personne pour porter sa croix. Cependant, s’il permet que nous le
soulagions en l’aidant à porter cette croix c’est pour nous associer à ses douleurs
et qu’ainsi nous prenions part à cette Rédemption. Nous n’avons pas d’autre
chemin pour aller au ciel que de porter la croix que Jésus veut que nous
portions. Notre croix n’est pas à inventer, à imaginer. C’est Jésus, qui par
les événements qui nous arrivent et que nous devons accepter par amour pour
Lui, nous donne notre croix à porter. Que Marie notre mère nous aide à accepter
le bien comme le mal comme une preuve d’amour du bon Dieu pour nous aider à
s’unir à lui selon les paroles de la bienheureuse Elisabeth de la Trinité. Chant puis
une dizaine de chapelet puis temps de silence.
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